• Hampton Divest in Fossil Fuels
    We cannot simply stand by and let our future generations be destroyed by our addiction to fossil fuels. By divesting in these big fossil fuel companies we can encourage the production of clean energy and reduce our carbon emissions.
    8 of 100 Signatures
    Created by Emily Ferrel
  • Vœu pour un engagement du Tarn pour le désinvestissement des combustibles fossiles
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « encourage[ant] les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles. Le mouvement 350.org encourage au contraire les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable pour agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement, il s'agit de convaincre deux acteurs prioritaires : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que les collectivités locales ont la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;
    31 of 100 Signatures
    Created by caprais nicolas
  • Vœu pour un engagement de VAUDRY contre les investissements contribuant au changement climatique
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Vaudry a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;
    12 of 100 Signatures
    Created by POTHIER BERNARD
  • Vœu pour un engagement de Colombes contre les investissements contribuant au changement climatique
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Colombes a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;
    5 of 100 Signatures
    Created by Nicolas Haeringer
  • Vœu pour un engagement de Dijon contre les investissements contribuant au changement climatique
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que Dijon a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;
    7 of 100 Signatures
    Created by Nicolas Haeringer
  • Vœu pour un engagement de la ville de Marseille contre les investissements les fossiles
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Marseille a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;
    11 of 100 Signatures
    Created by Nicolas Haeringer
  • Wiltshire Council: divest from fossil fuel
    Wiltshire Pension Fund holds a total of £1.8 billion, of which – currently - £64 million (3.5 per cent) is invested in fossil fuel – oil, coal and gas companies. This percentage may rise and fall. Wiltshire Pension Fund operates on behalf of Wiltshire Council and a further 157 employer organisations. Investment in fossil fuel is bad news for two reasons. Firstly, experts (1) warn these investments could become 'stranded assets' and irrecoverable, when the market for fossil fuels begin to decline in the years ahead. All local authorities, including Wiltshire Council, have a duty to act in the public interest, and to take steps to reduce risk to public money. Secondly, fossil fuel investment is a matter of right or wrong. More than 80 per cent of the world’s known coal reserves need to stay in the ground to avoid dangerous climate change, recent research (2) has indicated. The scientific and political consensus is that we must not allow global warming to exceed two degrees. If all known reserves are used we will exceed this limit, and tip into runaway climate change. This means extreme weather events, sea-level rise, fires and floods. Local impacts of fossil fuel dependence The Environment Agency and Salisbury City Council are drawing up emergency plans to protect Salisbury from ‘freak floods’, noting that the city came within 1cm of a major flood last January (3). Extreme weather events will cause severe flooding in Salisbury, and knock-on effects across Wiltshire, due to, for example, impassable roads and damage to communications systems (4). A further direct impact of fossil fuel dependence is disease caused by air pollution from traffic emissions. Salisbury Clean Air Network reported in March 2015 that nitrogen dioxide was at illegal levels in ten out of 25 of SCAN’s samples. This was a higher and more widespread pollution level than Council findings. Government data (Public Health England, 2010) indicated that air pollution causes 28,000 excess deaths in the UK per annum. If it’s wrong to cause these harms, then it is wrong to profit from investing in what causes them. Wiltshire Pension Fund should sell its fossil fuel investments and Wiltshire Council should follow the example of several other local authorities who have invested in local sustainable projects such renewable energy, energy efficiency or building much needed energy-efficient social homes. References: 1. Unburnable Carbon – Are the world’s financial markets carrying a carbon bubble? Carbon Tracker Initiative, March 2012 http://www.carbontracker.org/wp-content/uploads/2014/09/Unburnable-Carbon-Full-rev2-1.pdf ‘No more than one-third of proven reserves of fossil fuels can be consumed prior to 2050 if the world is to achieve the 2 °C goal, unless carbon capture and storage (CCS) technology is widely deployed.’ World Energy Outlook 2012, International Energy Agency ‘The issue of the bubble arises because the combined proven oil, gas and coal reserves currently on the books of fossil fuel companies (and governments in the case of NOCs) will produce far more than this amount of CO2 when consumed’, David Hone, Climate Change Advisor for Shell 3 May 2013 ‘We agree that burning all known reserves would probably cause global temperatures to rise by more than 2°C – and that addressing this issue will require the efforts of governments, industry and individuals. However, we believe that the unburnable carbon approach to assessing the impact of potential climate regulation on a company’s value oversimplifies the complexity of the issue and overstates the potential financial impact’ BP webpage on climate change, accessed 17 Oct 2015 2. The geographical distribution of fossil fuels unused when limiting global warming to 2 °C, McGlade, C, Ekins, P, Nature 517,187–190, 8 January 2015 3. Salisbury Journal, 1 October 2015. 4. Environment Agency advice to Salisbury City Councillors and volunteer Flood Wardens, 9 November 2015.
    497 of 500 Signatures
    Created by Alison Craig
  • Divest Munich from Fossil Fuels
    Divestment ist unabdingbar für den Kampf gegen den Klimawandel. Wenn wir die katastrophalen Auswirkungen der globalen Erwärmung verhindern wollen, darf ein Großteil der bisher bekannten Reserven an Kohle, Öl und Gas nicht gefördert werden. Durch den Ausbau erneuerbarer Energien werden die Entwicklung grüner Technologien gefördert, neue Arbeitsplätze geschaffen, lokale Wirtschaftszweige gestärkt und die Abhängigkeit von Energieimporten reduziert. Die Landeshauptstadt München trägt die moralische Verantwortung, ihr Kapital aus einer Industrie abzuziehen, die die Zukunft ihrer Bürger*innen zerstört. Deutschland nimmt im Kampf gegen den Klimawandel eine Vorreiterolle ein. München darf beim Klimaschutz nicht hinterherhinken. Divestment is essential for the fight against climate change. Most of the world’s coal, oil and gas known reserves must remain in the ground, if we are to avoid the catastrophic effects of climate change. With the support of renewabel energy systems the development of green technologies must be promoted. This wil create new jobs, strengheten the local economy, as well as reduce our energy import. The city of Munich has a moral responsibility to divest from an industry that is destroying the future of its citizens. Germany is a world leading figure in the fight against climate change and Munich should not lag behind.
    449 of 500 Signatures
    Created by Simona Vegetti
  • Divest South Lakeland From Fossil Fuels
    We feel it is critical to start this process of divestment NOW. 1. As the local authority, it has rigorously set, carbon reduction targets and therefore cannot be 'feeding the fire' by maintaining investments in fossil fuels, as this completely undermines SLDC's commitment to reducing its carbon emissions. 2. If it is wrong to continue to wreck the Earth’s climate, then it follows that it is wrong to profit from that wreckage. There are increasing indications that the profitability of the fossil fuel industry will decrease significantly in coming years. When action is taken to limit global warming and a large degree of carbon reserves are left in the ground, shares in fossil fuel companies will drop significantly in value. As such, investments in fossil fuels risk exposure to this 'carbon bubble'. There is already evidence that fossil fuel-free portfolios are capable of out-performing those including fossil fuel investments.The fossil fuel industry is volatile and the historical bankable returns MUST not and CANNOT be relied upon in the 21st century. See http://www.globalpolicyjournal.com/blog/20/04/2015/11-reasons-divest-fossil-fuel-industry for a comprehensive overview for reasons to divest now.
    133 of 200 Signatures
    Created by Claire Wickham
  • Worcestershire County Council Divest from Fossil Fuels
    It has been reported (http://gofossilfree.org/uk/pensions/) that the Worcestershire County Council Pension Fund has £197,423,000 (10.74% of its total pension fund) invested in fossil fuels. If fossil fuel companies extract and burn just 20% of the reserves they hold, this will cause catastrophic climate change (extreme weather, food shortages and conflict). The urgency of stopping climate change requires that we progressively stop burning fossil fuels now. It is irresponsible and immoral for public bodies and pension funds to invest in fossil fuel extraction companies and instead they should, where possible, direct investment into 'green energy' infrastructure. Fossil fuel companies are highly overvalued due to the assumption that all of their reserves will be burnt. But as policy catches up to climate realities, this overvaluation means there’s a multi-trillion dollar “carbon bubble” that’s poised to burst. This will greatly effect the value of our Pensions if they are still invested in Fossil Fuels.
    121 of 200 Signatures
    Created by Matthew Jenkins
  • Berkshire Pension Fund: Divest from Fossil Fuels
    It is estimated that the Royal County of Berkshire Pension Fund has over 97 million pounds invested indirectly in fossil fuels. If fossil fuel companies extract and burn just 20% of the reserves they hold, this will cause catastrophic climate change (extreme weather, food shortages and conflict). The urgency of stopping climate change requires that we progressively stop burning fossil fuels now. It is irresponsible and immoral for public bodies and pension funds to invest in fossil fuel extraction companies and instead they should, where possible, direct investment into 'green energy' infrastructure.
    281 of 300 Signatures
    Created by Rob White
  • Divest Cornwall
    Watch this brilliant one and half minute film explaining the petition: https://www.youtube.com/watch?v=Xa8CBI-dltE Further background information: 195 nations have agreed (at COP21 in Paris, December 2015) that to increase global temperatures beyond 2 degrees celsius would be CATASTROPHIC. This means dramaticly cutting our our carbon emissions, and keeping most of the known fossil fuels in the ground - Watch this for the IMPERATIVENESS of the situation: "Do the Math" at http://math.350.org/ bear, and this "Al Gore, Why I am optimistic about Climate Change" at https://www.ted.com/talks/al_gore_the_case_for_optimism_on_climate_change for an injection of impetus! Quite apart from the moral imperative to look after the planet that is our home (and that of the children of all species - not just our own!) Fossil fuel investments are losing value, and, according to many analysts, are on the verge of haemoraging. The governor of the Bank Of England has suggested divesting from fossil fuels as a wise financial move, and the Rockefeller foundation - founded upon fossil fuels, recently announced that they are divesting. "The leading argument by financial analysts is that, with emerging regulation to curb global temperature increases and growing competition from low-carbon energy sources, there is a real risk of “stranded assets” and “unburnable carbon”. “Stranded assets“, as coined by the Carbon Tracker Initiative, refers to assets that lose their value or turn into liabilities before the end of their economic life cycle. Such an outcome is expected of much of the world’s fossil fuel reserves, a large percentage of which is said to be unburnable (over 80% of coal, 50% of gas and 30% of oil) if we are to stay within the 2°C globally agreed threshold." From: http://www.blog.clientearth.org/why-pension-fund-trustees-must-consider-climate-risk/ ______ To grasp the seriousness of the climate crisis, you just need to do a little maths: Fossil fuel corporations have 5 times more oil, coal and gas in known reserves than the most conservative climate scientists think is safe to burn. Therefore we have to keep at least 80% of their fossil fuels underground to keep the earth in anything resembling livable shape. Despite this fact, fossil fuel companies continue to explore for more fossil fuels because, with our current economic system, the amount of reserves they have determines their share value. This exploration is potentially devastating for the environments where it occurs - imagine the DeepWater Horizon disaster in the hostile and treacherous seas of the Arctic - a scenario the US government gives a 75% chance of occuring. or the total devastation of Canada's Tar sand fields in Lancashire... By selling off their shares in fossil fuel companies, large institutions, like Cornwall Council, can use their financial clout to prevent such exploration from occurring, and help to keep the "oil in the soil, and the coal in the hole" If you want more detail: at current levels of Carbon dioxide emission, we have less than 15 years before crossing a dangerous threshold (2 degree celsius rise in global temperature) that almost every government in the world has agreed would be unsafe. We humans have already raised the temperature .8°C with the carbon dioxide already emitted, and that has caused far more damage than most scientists expected. A third of summer sea ice in the Arctic is gone, the oceans are 30 percent more acidic, and since warm air holds more water vapor than cold, the climate dice are loaded for both devastating floods and drought. Scientists estimate that humans can pour roughly 565 more gigatons of carbon dioxide into the atmosphere and still have some reasonable hope of staying below two degrees. Computer models calculate that even if we stopped increasing CO2 levels now, the temperature would still rise another 0.8 degrees above the 0.8 we’ve already warmed, which means that we’re already 3/4s of the way to the 2 degree limit. For much greater detail - see the film "Do the Math" at http://math.350.org/
    400 of 500 Signatures
    Created by David SmartKnight