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Divest the University of Cincinnati from Fossil FuelsClimate change is the greatest issue our generation will ever face, both in its size and its immediacy. As the global temperatures rise, our oceans are becoming more acidic, water levels are rising, the frequency of severe weather events is increasing, and people all over the planet are suffering. From the Pacific Islands to the Arctic circle, people's lives and livelihoods are in danger. This is the future that the fossil fuel industry is creating. This is the future that UC, as an institution, is supporting through investments in the fossil fuel industry. The University of Cincinnati has much to gain from a commitment to divesting. UC has a strong record of sustainable actions, so divesting from fossil fuels would prove the strength and validity of UC's commitment to sustainability. As a leader in the Cincinnati community and the state of Ohio, divestment would allow UC to become even more of a strong, positive, sustainable role model for other institutions. Please show your support for this cause by signing this online petition today!384 of 400 SignaturesCreated by Sarah Baryluk
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Fossilfria Pengar vid Mittuniversitet ÖstersundEnglish below Mittuniversitetet Östersund har flera program och kurser som förbereder den kommande generationen för klimatförändring. En av bygnaderna har ett tak som är fullt med solpaneler och kafeterian servera vegetarisk mat. Forskning kring ämnet finns. Universitetets vision stämmer redan med klimatförändringsfrågan. Östersunds kommun har bestämt att divestera. Men det är fortfarande ett krav att Miun Östersund är en del av att försöka lösa problemet lika mycket som att och sluta vara en del av det. Genom divestering kan vi reducera klimatförändringens oförväntade effekter och utveckla universitets ekonomiska framtid på ett hållbart sätt. Därför kräver vi att universitetet ska minska och över tid avbryta alla fossila investeringar och vara mer transparent i sin ekonomi. Som studenter, personal, alumni, representater och aktieägare av universitetet, tror vi att kostnaden som uppstår är en värdefull investering i vår gemensamma framtid, en förbättring av bilden av Mittuniviversitet och ekonomisk stabilitet. ------ Mittuniversitet has several programs and courses which prepare the next generation for addressing the issues of climate change. A building's roof is covered in solar panels and the local cafeteria has among other options a daily vegetarian choice. Research is being carried out in the field. The general sentiment is that the university's vision is aligned with the issue of climate change. The municipality of Östersund has already decided to divest. However, it is as necessary that Mittuniversitet Östersund is a part of the solution as it stops being a part of the problem. By taking a proactive approach this institution can reduce the undesirable effects of the changing the world's climate and create a more sustainable economic future for itself. Therefore, we demand that the institution wind down all it's investments into fossil fuels and becomes transparent with their economic policy. As students, staff, alumni, representatives and shareholders of this university, we believe divesting is a worthwhile investment into our common future, the image of the university and its financial stability.38 of 100 SignaturesCreated by Vartan Ahrens
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Vœu pour un engagement de VAUDRY contre les investissements contribuant au changement climatiqueConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Vaudry a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;11 of 100 SignaturesCreated by POTHIER BERNARD
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Stop aux investissements de la ville de Montpellier dans les énergies fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourage[] les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Montpellier a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la journée internationale du Climat du 8 septembre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://fr.riseforclimate.org/1,872 of 2,000 SignaturesCreated by Collectif Zéro Fossile
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Divest Warwick from Fossil Fuels!Our local government has a responsibility to divest from an industry that’s destroying our future, and reinvest in solutions to climate change. We can not count on the federal government, even as extreme weather events like the record rain fall in the Duluth area last Spring overwhelm local budgets. We have the solutions, but we won’t see any political progress on the issue until we can weaken the power of the fossil fuel industry. The bottom line is this: divestment is the only moral choice for governments that care about their citizens. Solving the climate crisis is the only practical choice for governments that care about their solvency. It's time to divest from fossil fuels now!10 of 100 SignaturesCreated by Andrew McLaughlin
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Divest Lucy Cavendish College From Fossil FuelsClimate change is the most pressing problem of our time and fossil fuel companies cause a significant share of global carbon emissions. Hence, the transition to renewable energy resources is one of the most important steps to keep the global temperature-increase under the 2 degrees limit of the Paris Convention and is closely connected to investment policies. The social and environmental consequences of climate change are unequally distributed across the globe and among individuals. Investments legitimise the activities of fossil fuel companies that are related to complicity in human rights violations and environmental disasters. Divestment of the fossil fuel industry reflects the progressive values that Lucy Cavendish College aims to represent. The Guardian’s recent revelations* expose the influence of the fossil fuel lobby on the University’s decision to reject divestment last year. Lucy Cavendish College can, in accordance with its progressive values, express its disapproval of the collusion between the fossil fuel industry and the University of Cambridge by divesting. Investments in fossil fuel companies are economically unreliable because of volatile share prices. This is because such companies in the fossil fuel industry attract public scrutiny for their complicity in human rights violations and environmental disasters. Further, there is a volatile market-evaluation of natural resources. In the long run, this evaluation is expected to decrease significantly because of more efficient renewable energy sources and a decrease of the profitability of the fossil fuel industry. Divestment is feasible as fossil free funds have been shown to perform on par with or better than conventional investments. * https://www.theguardian.com/education/2019/jan/30/bp-and-bhp-offered-cambridge-university-millions-despite-calls-to-divest76 of 100 SignaturesCreated by L. H.
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Divest Kassel - Kein Geld für Waffen, Kohle, Öl und Gas!Als Divest Kassel setzen wir auf die politische und moralische Wirkung eines öffentlichen Divestments. Sich zum Divestment zu bekennen, stellt eine klare Positionierung für den Klimaschutz und für ein friedliches Miteinander dar. Auf diese Weise Stellung zu beziehen, zielt auf den Ruf der Konzerne und soll ihren Lobbyeinfluss begrenzen. Die Stadt Kassel nimmt ihre Verantwortung für den Klimaschutz bisher nur lückenhaft wahr. Die Verantwortung hört zum Beispiel nicht bei Finanzfragen auf, sondern muss diese mit einschließen! Für einen konsequenten Klimaschutz, der der Verantwortung für die Allgemeinheit und für zukünftige Generationen gerecht wird, sollte daher auch das Anlagevermögen nach Kriterien des Klimaschutzes umgestaltet werden. Es reicht nicht, Urban Gardening und Fahrradverkehr mit kleinen Finanzspritzen zu fördern und gleichzeitig die Möglichkeit offen zu lassen, dass die Pensionsrücklagen mit den Profiten der fossilen Energiebranche oder der Rüstungsindustrie anwachsen. Nachhaltigkeit und Klimaschutz müssen ganzheitlich über alle Sektoren gedacht werden, wobei die Finanzen einen wichtigen Hebel darstellen. "Genug Klimaschutz" gibt es angesichts der dramatischen Konsequenzen des Business-As-Usual im Rahmen des Klimawandels nicht! Im Pariser Klimavertrag hat sich auch die Bundesregierung dazu bekannt, das 2°-Limit deutlich zu unterschreiten und Anstrengungen zu unternehmen, den Temperaturanstieg auf 1,5° Celsius zu begrenzen. Das heißt im Klartext: keinerlei neuen Investitionen in jegliche Kohle-, Öl- oder Gasinfrastruktur und frühzeitiges Ende der bestehenden Förderungen. Denn allein die Ausbeutung der heute bereits produzierenden Lagerstätten werden uns schon über diese Limits katapultieren. Von dieser absehbaren Mensch-Umwelt-Katastrophe dürfen wir nicht profitieren, sondern müssen jede Anstrengung unternehmen, sie zu verhindern. Als Divest Kassel sehen wir es darüber hinaus angesichts der örtlichen Rüstungsindustrie und deren aktuellen skandalösen Verstrickungen in Konflikte wie im Norden Syriens oder Saudi-Arabien / Jemen als dringend notwendig an, die Deinvestition aus dieser Branche zu fordern, um so ein Statement für Abrüstung und mehr Frieden in der Welt zu setzen. Denn wenn der Klimawandel und Kriege zu verurteilen sind, dann ist es auch falsch, davon zu profitieren! Weitere Informationen und Hintergründe zum Nachlesen im Argumentationspapier von Divest Kassel: http://divestkassel.blogsport.eu/files/2018/03/argumentationspapier_divest-kassel_2018-02-26.pdf14 of 100 SignaturesCreated by Kerstin Lopau
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Amiens dit STOP aux investissements dans les énergies fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagée à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle «encourage les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville d'Amiens a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la 2éme marche pour le Climat, le 13 octobre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://france.zerofossile.org/32 of 100 SignaturesCreated by Unis pour le Climat > Amiens
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Vœu pour un engagement du Tarn pour le désinvestissement des combustibles fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « encourage[ant] les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles. Le mouvement 350.org encourage au contraire les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable pour agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement, il s'agit de convaincre deux acteurs prioritaires : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que les collectivités locales ont la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;30 of 100 SignaturesCreated by caprais nicolas
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Vœu de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées pour le désinvestissement des combustibles fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;57 of 100 SignaturesCreated by Au Del