Pour des collectivités locales zéro fossile
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ToulonStop aux investissements financiers et économiques dans les énergies fossiles à Toulon !• Considérant que les engagements pris dans l'Accord de Paris adopté à l'issue de la COP21 par lequel la communauté internationale s'est engagée à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C », • considérant que le 25 novembre dernier, l'Assemblée nationale a adopté une résolution pour une « société bas carbone », dans laquelle elle « encourage les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon », • considérant que dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative démontre que les entreprises du secteur des énergies fossiles exploitent ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2 795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit 5 fois ce que nous devrons émettre si nous souhaitons contenir le réchauffement sous cette barre de 2°C, • considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, gisements exploités, en passe de l'être ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit 20 fois ce que nous devrons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C, • considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile » qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans les entreprises du secteur des énergies fossiles, 350.org demande à ces institutions d’initier une stratégie responsable d’investissement, social et écologique pour agir en faveur du climat, • considérant que les entreprises ciblées par cette campagne appartiennent toutes à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit les principales sources d'émissions de CO2 à venir listées par la « Carbon tracker initiative », • considérant que pour initier un réel changement, 2 principaux acteurs sont à convaincre en priorité : les fonds de pension et les banques qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants, • considérant que les caisses de retraites de la Fonction Publique (IRCANTEC, ERAFP, CNRAC) ainsi que le fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces mêmes entreprises, • considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche à l’image de San Francisco ou Seattle ou encore de l’université de Stanford, du fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris et par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes, Lille et Bordeaux, les régions Île-de-France et Rhône-Alpes-Auvergne), • considérant que la commune de Toulon et la métropole TPM ont la même responsabilité de protéger la vie et l'environnement de leurs administré(e)s, des conséquences du changement climatique, le groupe local « Climat / Zéro Fossile / Toulon & Environs » demande à chacune et chacun d’être « actrice / acteur » de la lutte contre le réchauffement climatique en soutenant activement cette pétition, en la signant et en la diffusant le plus largement possible ! Pétition lancée à Toulon le 1er mai 2019 pour la 4ème marche pour le Climat ... Plus d'informations sont disponibles sur https://france.zerofossile.org113 of 200 SignaturesCreated by Guy Cochennec
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AvignonAvignon dit STOP aux investissements dans les énergies fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que le grand Avignon a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ; Cette pétition est lancée dans le contexte de la 4éme marche pour le Climat, le 17 mars 2019, plus d'informations sont disponibles sur https://france.zerofossile.org/220 of 300 SignaturesCreated by Franck Spieser
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Stop aux investissements de la ville de Bordeaux dans les énergies fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourage les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Bordeaux a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la journée internationale du Climat du 8 septembre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://fr.riseforclimate.org/89 of 100 SignaturesCreated by Il Est Encore Temps Bordeaux
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AmiensAmiens dit STOP aux investissements dans les énergies fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagée à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle «encourage les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville d'Amiens a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la 2éme marche pour le Climat, le 13 octobre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://france.zerofossile.org/34 of 100 SignaturesCreated by Unis pour le Climat > Amiens
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Vœu pour un engagement de Vannes contre les investissements contribuant au changement climatiqueConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que Vannes a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;37 of 100 SignaturesCreated by Karine GL
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Stop aux investissements de la ville de Montpellier dans les énergies fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourage[] les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Montpellier a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la journée internationale du Climat du 8 septembre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://fr.riseforclimate.org/1,887 of 2,000 SignaturesCreated by Collectif Zéro Fossile
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Voeu pour que la Métropole de Lyon s'engage pour le désinvestissement des énergies fossilesLa Métropole de Lyon doit s’associer pleinement à la campagne de « désinvestissement des énergies fossiles » désormais mondialement connue et initiée par le mouvement « 350.org », celle-ci étant relayée par de nombreuses associations dans le monde entier dont le Center for International Environmental Law, Greenpeace, France Nature Environnement, Réseau Action Climat et Notre affaire à tous. Partant du constat que certaines organisations favorisent le dérèglement climatique et la raréfaction des ressources en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, cett campagne a encouragé l’organisation d'actions visant à inciter nos institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable. Les combustibles fossiles sont la première cause du dérèglement climatique et représentent 80% des émissions mondiales de C02 et 67% des émissions de gaz à effet de serre. En incitant le retrait des participations et placements financiers dans les énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), ce mouvement de désinvestissement entend rediriger ces capitaux vers la production d’énergies renouvelables. Le désinvestissement des énergies fossiles est donc une absolue nécessité. En effet, selon une étude de l’University College de Londres, il faudra renoncer à exploiter un tiers des réserves de pétrole, la moitié de celles de gaz et 82% de celles du charbon pour rester sous la barre d’une augmentation de la température moyenne de la planète de 2°C d’ici à 2100. Pour l’heure, plus de 800 villes, universités, musées et autres institutions à travers le monde, détenant un total de plus de 6 000 milliards de dollars d’actifs, ont pris part à cette campagne, à l’image des villes de New York et de San Francisco ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, de la ville de Paris, elle-même rejointe par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Lille et de Bordeaux, la région Île-de-France, et le 1er arrondissement de la ville de Lyon). Cette vague de désinvestissement connaît une dynamique à laquelle la Métropole de Lyon doit prendre toute sa part, alors que nous avons la responsabilité de protéger la vie et l’environnement de tout.e.s les habitant.e.s de la Métropole de Lyon des conséquences du dérèglement climatique. La Métropole de Lyon doit saisir toutes les opportunités pour s’engager plus avant dans la transition énergétique de son territoire: la résilience énergétique suppose sobriété énergétique, efficacité énergétique et énergies renouvelables. C’est donc dans les rénovations énergétiques du bâti existant, dans le déploiement accru des énergies renouvelables et de récupération qu’il faut investir massivement — et non plus dans les énergies fossiles. C’est vers là que doivent être orientés les fonds qui seront dégagés par ce désinvestissement. Une « entreprise du secteur fossile » est définie comme toute entreprise appartenant à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, telles que listées par la « Carbon tracker initiative ». ll y a deux acteurs principaux à convaincre pour initier un changement au niveau de la Métropole : les fonds institutionnels et les banques. Gérés par la Caisse des Dépôts et Consignations, il y a différents systèmes de retraite dans lesquels cotisent les différents fonctionnaires, agents contractuels ou élus de la Métropole de Lyon. Nous pouvons notamment citer le RAFPR (Régime de retraite additionnelle de la Fonction Publique) ou encore l’IRCANTEC (Caisse de retraite complémentaire obligatoire des agents contractuels). Bien qu‘affichant souvent des stratégies d’investissement « socialement responsable et prenant en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance », ces différents fonds et caisses de retraite ont encore des actifs financiers dans des secteurs et des entreprises contribuant au dérèglement climatique. ll est donc crucial que ces fonds et caisses s’unissent à cette démarche de désinvestissement en se séparant de leurs participations et placements financiers qu’ils pourraient avoir dans les énergies fossiles. Source : Rapport de l'Observatoire des Multinationales et de 350.org "La Caisse des dépôts et consignations, financeur public des énergies du passé".570 of 600 SignaturesCreated by Comite du 5 mai Lyon
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Castelnau-de-LévisVœu pour un engagement du Tarn pour le désinvestissement des combustibles fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « encourage[ant] les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles. Le mouvement 350.org encourage au contraire les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable pour agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement, il s'agit de convaincre deux acteurs prioritaires : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que les collectivités locales ont la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;31 of 100 SignaturesCreated by caprais nicolas
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AiguefondeVœu de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées pour le désinvestissement des combustibles fossilesConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;58 of 100 SignaturesCreated by Au Del
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VaudryVœu pour un engagement de VAUDRY contre les investissements contribuant au changement climatiqueConsidérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Vaudry a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;12 of 100 SignaturesCreated by POTHIER BERNARD