• Divest Frederick from Fossil Fuels!
    Our local government has a responsibility to divest from an industry that’s destroying our future, and reinvest in solutions to climate change. We can not count on the federal government, even as extreme weather events like the record rain fall in the Duluth area last Spring overwhelm local budgets. We have the solutions, but we won’t see any political progress on the issue until we can weaken the power of the fossil fuel industry. The bottom line is this: divestment is the only moral choice for governments that care about their citizens. Solving the climate crisis is the only practical choice for governments that care about their solvency. It's time to divest from fossil fuels now!
    7 of 100 Signatures
    Created by Charlotte Wood
  • Stop aux investissements de la ville de Bordeaux dans les énergies fossiles
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourage les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Bordeaux a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la journée internationale du Climat du 8 septembre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://fr.riseforclimate.org/
    89 of 100 Signatures
    Created by Il Est Encore Temps Bordeaux
  • Amiens dit STOP aux investissements dans les énergies fossiles
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagée à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle «encourage les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville d'Amiens a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la 2éme marche pour le Climat, le 13 octobre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://france.zerofossile.org/
    34 of 100 Signatures
    Created by Unis pour le Climat > Amiens
  • Divest Birkbeck
    Investment in fossil fuel industries drives fossil fuel consumption and its negative social and environmental impacts. Burning coal, oil, and gas release CO2 and other greenhouse gases into the atmosphere, both warming and polluting the planet. According to the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), if the status quo continues, the planet could warm by almost 5°C by 2100. This would have a catastrophic impact on human life. It would mean that our planet bears little resemblance to the one in which “civilization developed and to which life on Earth is adapted”, as James Hansen, a top climate scientist at NASA, put it. The second reason is that investment in these companies gives implicit support to their activities. It is a matter of social justice and duty that the University withdraw its investments in companies that actively contribute to global warming, the burden of which is being felt disproportionately by the world’s poorest countries, who are contributing least to climate change. Not only does this exacerbate global poverty, but it also perpetuates further social inequality between the global South and the global North. Divestment from fossil fuel firms will help remove fossil fuel companies’ social license to exploit the world's most impoverished nations. The third reason is that investment in fossil fuel companies runs contrary to the University’s environmental priorities. The University is pledging to reduce carbon emissions and embed sustainability into its business model and institutions' culture. It intends to be fully compliant with environmental legislation and promote environmental responsibility. On this basis and in light of the Paris agreement, we believe that we must act to help avert irreversible damage to ecosystems and life on earth. Fossil fuel companies are now subject to regulations aimed at preventing climate change. Recent research has shown that, if regulators are serious about mitigating climate change, a third of global oil reserves, half of all gas reserves, and over 80% of coal reserves will have to remain in the ground to limit global warming to 2ºC. This means fossil fuel firms would have to massively write down the value of assets on their balance sheets, leading to huge and sustained destruction in shareholder value. By divesting from fossil fuels, the University will join a long list of respected institutions already committed to going fossil free, which include over 50% of all UK universities (https://sustainability.nus.org.uk/divest-investold/articles/over-50-of-uk-universities-divest-from-fossil-fuels), including Goldsmiths, Bath Spa University, Manchester University, Oxford City Council, Trinity College, the World Council of Churches, and the Rockefeller Brothers Fund. The global divestment campaign is growing, and together we can make a statement about how we want our future to look. We urge all students, alumni, staff and members of the public to sign the petition to support the divestment campaign at Birkbeck, and an end to social and environmental devastation. _________________________________ NOTE: This petition was updated on 25 February 2021 to reflect the latest available investment figures disclosed by Birkbeck in January 2021.
    556 of 600 Signatures
    Created by Suzanne Henry
  • Vœu pour un engagement de Vannes contre les investissements contribuant au changement climatique
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourageant les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement sous cette barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que Vannes a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique ;
    37 of 100 Signatures
    Created by Karine GL
  • Stop aux investissements de la ville de Montpellier dans les énergies fossiles
    Considérant que les engagements pris dans l'accord de Paris adopté à l'issu de la COP21, par lequel la communauté internationale s'est engagé à maintenir le réchauffement climatique « bien en-deçà de 2°C » ; Considérant que l'Assemblée nationale a adopté, le 25 novembre dernier, une résolution pour une société bas carbone, dans laquelle elle « "encourage[] les investisseurs institutionnels, les entreprises, notamment celles dont l’État est actionnaire, et les collectivités territoriales à cesser d’investir dans les énergies fossiles et notamment dans le charbon » ; Considérant que, dans son rapport « Unburnable carbon », la Carbon Tracker Initiative montre que les entreprises du secteur fossile exploitent actuellement ou s'apprêtent à exploiter des réserves de charbon, de gaz et de pétrole représentant 2,795 gigatonnes d'émissions potentielles de CO2, soit cinq fois ce que nous pouvons émettre pour maintenir le réchauffement sous la barre des 2°C ; Considérant que des travaux récemment publiés par la revue Nature ont montré que l'ensemble des combustibles fossiles présents dans le sous-sol, qu'il s'agisse de gisements exploités, en passe d'être exploités, ou simplement identifiés, représentent 11 000 gigatonnes d'émissions potentielles de C02, soit vingt fois ce que nous pouvons émettre si nous souhaitons pouvoir maintenir le réchauffement climatique sous cette barre des 2°C ; Considérant la campagne lancée il y a trois ans par le mouvement 350.org de « désinvestissement du secteur fossile », qui se fonde sur le constat que certaines institutions encouragent le réchauffement climatique en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, et encourage les institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable et pour ainsi agir en faveur du climat ; Considérant que les entreprises ciblées dans le cadre de cette campagne sont toutes celles qui appartiennent à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, autrement dit qui représentent les principales sources d'émissions de CO2 à venir, telles que listées par la « Carbon tracker initiative » ; Considérant que pour réellement initier ce changement souhaité deux principaux acteurs sont prioritairement à convaincre : les fonds de pension et les banques, qui gèrent des portefeuilles d’investissement très importants ; Considérant que les caisses de retraites de la fonction publique (Ircantec, Erafp, Cnrac) ainsi que le Fonds de réserve pour les retraites détiennent plusieurs milliards d'actions et obligations émises par ces entreprises ; Considérant que plus de 500 villes, universités, musées et autres institutions se sont d’ores et déjà engagées dans cette démarche, à l’image des villes de San Francisco et Seattle ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, rejointes par la ville de Paris par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Paris, Lille et Bordeaux, les régions Ile de France et Rhône-Alpes-Auvergne) ; Considérant que la ville de Montpellier a la responsabilité de protéger la vie et l'environnement de ses habitants des conséquences du changement climatique, cette demande de stopper les investissements dans les énergies fossiles est tout à fait légitime. Cette pétition est lancée dans le contexte de la journée internationale du Climat du 8 septembre 2018, plus d'informations sont disponibles sur https://fr.riseforclimate.org/
    1,887 of 2,000 Signatures
    Created by Collectif Zéro Fossile Picture
  • Voeu pour que la Métropole de Lyon s'engage pour le désinvestissement des énergies fossiles
    La Métropole de Lyon doit s’associer pleinement à la campagne de « désinvestissement des énergies fossiles » désormais mondialement connue et initiée par le mouvement « 350.org », celle-ci étant relayée par de nombreuses associations dans le monde entier dont le Center for International Environmental Law, Greenpeace, France Nature Environnement, Réseau Action Climat et Notre affaire à tous. Partant du constat que certaines organisations favorisent le dérèglement climatique et la raréfaction des ressources en détenant des investissements directs dans des entreprises du secteur des énergies fossiles, cett campagne a encouragé l’organisation d'actions visant à inciter nos institutions à initier une stratégie d’investissement socialement et écologiquement responsable. Les combustibles fossiles sont la première cause du dérèglement climatique et représentent 80% des émissions mondiales de C02 et 67% des émissions de gaz à effet de serre. En incitant le retrait des participations et placements financiers dans les énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), ce mouvement de désinvestissement entend rediriger ces capitaux vers la production d’énergies renouvelables. Le désinvestissement des énergies fossiles est donc une absolue nécessité. En effet, selon une étude de l’University College de Londres, il faudra renoncer à exploiter un tiers des réserves de pétrole, la moitié de celles de gaz et 82% de celles du charbon pour rester sous la barre d’une augmentation de la température moyenne de la planète de 2°C d’ici à 2100. Pour l’heure, plus de 800 villes, universités, musées et autres institutions à travers le monde, détenant un total de plus de 6 000 milliards de dollars d’actifs, ont pris part à cette campagne, à l’image des villes de New York et de San Francisco ou encore de l’université de Stanford, du Fonds souverain de Norvège, de la fondation Rockefeller Brothers, de la ville de Paris, elle-même rejointe par 34 collectivités locales françaises (parmi lesquelles les villes de Lille et de Bordeaux, la région Île-de-France, et le 1er arrondissement de la ville de Lyon). Cette vague de désinvestissement connaît une dynamique à laquelle la Métropole de Lyon doit prendre toute sa part, alors que nous avons la responsabilité de protéger la vie et l’environnement de tout.e.s les habitant.e.s de la Métropole de Lyon des conséquences du dérèglement climatique. La Métropole de Lyon doit saisir toutes les opportunités pour s’engager plus avant dans la transition énergétique de son territoire: la résilience énergétique suppose sobriété énergétique, efficacité énergétique et énergies renouvelables. C’est donc dans les rénovations énergétiques du bâti existant, dans le déploiement accru des énergies renouvelables et de récupération qu’il faut investir massivement — et non plus dans les énergies fossiles. C’est vers là que doivent être orientés les fonds qui seront dégagés par ce désinvestissement. Une « entreprise du secteur fossile » est définie comme toute entreprise appartenant à la liste des 200 entreprises qui possèdent les plus grandes réserves de charbon, de gaz et de pétrole, telles que listées par la « Carbon tracker initiative ». ll y a deux acteurs principaux à convaincre pour initier un changement au niveau de la Métropole : les fonds institutionnels et les banques. Gérés par la Caisse des Dépôts et Consignations, il y a différents systèmes de retraite dans lesquels cotisent les différents fonctionnaires, agents contractuels ou élus de la Métropole de Lyon. Nous pouvons notamment citer le RAFPR (Régime de retraite additionnelle de la Fonction Publique) ou encore l’IRCANTEC (Caisse de retraite complémentaire obligatoire des agents contractuels). Bien qu‘affichant souvent des stratégies d’investissement « socialement responsable et prenant en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance », ces différents fonds et caisses de retraite ont encore des actifs financiers dans des secteurs et des entreprises contribuant au dérèglement climatique. ll est donc crucial que ces fonds et caisses s’unissent à cette démarche de désinvestissement en se séparant de leurs participations et placements financiers qu’ils pourraient avoir dans les énergies fossiles. Source : Rapport de l'Observatoire des Multinationales et de 350.org "La Caisse des dépôts et consignations, financeur public des énergies du passé".
    570 of 600 Signatures
    Created by Comite du 5 mai Lyon
  • Schützen Sie unsere Ozeane vor Offshore-Bohrungen
    Kein Verschütten. Kein Töten. Kein Bohren mehr. Das Weiße Haus veröffentlichte Anfang Januar einen Entwurf, um die Offshore-Bohrungen im Jahr 2019 dramatisch auszuweiten. Die Trump-Regierung versucht, fast alle Bundesgewässer für potenzielle Öl- und Gasbohrmietverträge zu öffnen. Es ist ein großer Fehler. Und wir brauchen Sie, um dem Chor der Ozeanliebhaber in der ganzen Nation beizutreten, die sich dafür einsetzen, Sonderinteressen durch die Zerstörung unserer Küsten zu stoppen. Bitte machen Sie Ihre Stimme, bevor dieser gefährliche Vorschlag unsere Realität wird. Öl und Wasser vermischen sich nicht, wie jüngste Verschüttungen zeigen. Und die Bemühungen zur Förderung fossiler Brennstoffe verursachen weiterhin extreme wirtschaftliche Schäden. Im Jahr 1969 pumpte ein Brunnen vor der Küste von Santa Barbara fast 4 Millionen Gallonen Rohöl in den Pazifik und an die Strände von Südkalifornien. Seitdem haben lokale Gesetzgeber und die Öffentlichkeit in Kalifornien unermüdlich daran gearbeitet, zu verhindern, dass Lecks und Lecks unsere Umwelt und die 18 Milliarden US-Dollar teure Küstenwirtschaft ruinieren, indem sie neue Öl- und Gasbohrmieten Offshore in Bundesgewässern zurückweisen. Eine geplatzte Pipeline spuckte 2015 über 100.000 Gallonen Rohöl auf die biologisch vielfältige und unberührte Gaviota Coast, westlich von Refugio State Beach in der Nähe von Santa Barbara, Kalifornien, mit geschätzten 21.000 Gallonen bis zum Wasser. Der Refugio-Spill tötete Hunderte von Meereslebewesen, schloss wochenlang beliebte Strände und schloss die Fischerei für 138 Quadratmeilen, was die kommerziellen und Freizeitangler der Gegend schwer traf. Die katastrophale Explosion und Verschüttung der Deepwater Horizon hat 11 Menschenleben gefordert und 2010 im Golf von Mexiko Schäden von mehr als 17 Milliarden Dollar verursacht. Lasst uns kein weiteres Desaster riskieren. Jetzt ist NICHT die Zeit, Sicherheitsstandards zurückzusetzen und hart umkämpfte Schutzmaßnahmen aufzugeben. Vertreter aus Kalifornien haben Maßnahmen ergriffen, um sicherzustellen, dass unsere Staatsgewässer nicht bis zu drei Meilen vor der Küste vordringen. Gewählte Beamte aus anderen Staaten, einschließlich Oregon, Washington, Florida, New York, New Jersey, Massachusetts, Connecticut, Rhode Island, New Hampshire, Delaware, Maryland, Virginia, North Carolina und South Carolina haben auch starken Widerstand gegen Offshore-Bohrungen in Bundesgesetzen laut Wasser, das als Angriff auf die jeweilige lokale Wirtschaft, Souveränität und unsere unschätzbaren natürlichen Ressourcen angesehen wird. Wir müssen uns nicht zwischen einer geschäftigen Volkswirtschaft und sauberen, sicheren und gesunden lokalen Umgebungen entscheiden. Wir können beides haben. Der Erfolg von Meeresschutzgebieten entlang der kalifornischen Küste beweist, dass intelligente Investitionen, die unsere Umwelt schützen, der Fischerei und dem Tourismus zugute kommen und gleichzeitig ökologische Lebensräume erhalten bleiben. Die Trump-Regierung ignoriert den Willen des Volkes und geht jetzt einseitig auf Kosten der Umwelt zugunsten der Industrie vor. Wir können es nicht zulassen. Grüße https://www.petsexpert.ch
    16 of 100 Signatures
    Created by Vinceslav Digriz Picture
  • Divest Kassel - Kein Geld für Waffen, Kohle, Öl und Gas!
    Als Divest Kassel setzen wir auf die politische und moralische Wirkung eines öffentlichen Divestments. Sich zum Divestment zu bekennen, stellt eine klare Positionierung für den Klimaschutz und für ein friedliches Miteinander dar. Auf diese Weise Stellung zu beziehen, zielt auf den Ruf der Konzerne und soll ihren Lobbyeinfluss begrenzen. Die Stadt Kassel nimmt ihre Verantwortung für den Klimaschutz bisher nur lückenhaft wahr. Die Verantwortung hört zum Beispiel nicht bei Finanzfragen auf, sondern muss diese mit einschließen! Für einen konsequenten Klimaschutz, der der Verantwortung für die Allgemeinheit und für zukünftige Generationen gerecht wird, sollte daher auch das Anlagevermögen nach Kriterien des Klimaschutzes umgestaltet werden. Es reicht nicht, Urban Gardening und Fahrradverkehr mit kleinen Finanzspritzen zu fördern und gleichzeitig die Möglichkeit offen zu lassen, dass die Pensionsrücklagen mit den Profiten der fossilen Energiebranche oder der Rüstungsindustrie anwachsen. Nachhaltigkeit und Klimaschutz müssen ganzheitlich über alle Sektoren gedacht werden, wobei die Finanzen einen wichtigen Hebel darstellen. "Genug Klimaschutz" gibt es angesichts der dramatischen Konsequenzen des Business-As-Usual im Rahmen des Klimawandels nicht! Im Pariser Klimavertrag hat sich auch die Bundesregierung dazu bekannt, das 2°-Limit deutlich zu unterschreiten und Anstrengungen zu unternehmen, den Temperaturanstieg auf 1,5° Celsius zu begrenzen. Das heißt im Klartext: keinerlei neuen Investitionen in jegliche Kohle-, Öl- oder Gasinfrastruktur und frühzeitiges Ende der bestehenden Förderungen. Denn allein die Ausbeutung der heute bereits produzierenden Lagerstätten werden uns schon über diese Limits katapultieren. Von dieser absehbaren Mensch-Umwelt-Katastrophe dürfen wir nicht profitieren, sondern müssen jede Anstrengung unternehmen, sie zu verhindern. Als Divest Kassel sehen wir es darüber hinaus angesichts der örtlichen Rüstungsindustrie und deren aktuellen skandalösen Verstrickungen in Konflikte wie im Norden Syriens oder Saudi-Arabien / Jemen als dringend notwendig an, die Deinvestition aus dieser Branche zu fordern, um so ein Statement für Abrüstung und mehr Frieden in der Welt zu setzen. Denn wenn der Klimawandel und Kriege zu verurteilen sind, dann ist es auch falsch, davon zu profitieren! Weitere Informationen und Hintergründe zum Nachlesen im Argumentationspapier von Divest Kassel: http://divestkassel.blogsport.eu/files/2018/03/argumentationspapier_divest-kassel_2018-02-26.pdf
    15 of 100 Signatures
    Created by Kerstin Lopau
  • Divest Lothian
    We all deserve a future worth retiring for, but fossil fuels threaten that future, both here in the Lothians and around the world. It's time for the Lothian Pension Fund to make a strong commitment to sustainability. Scientists are clear that the burning of fossil fuels - coal, oil and gas - is the main driver of warming around the world, the effects of which can already be seen in hurricanes in the Caribbean, wildfires in the US and Europe and catastrophic flooding in Asia. More warming will cause increasing devastation. The Lothian Pensions Fund invests £153 million in fossil fuel companies like BP and Shell, whose business plans, and the valuations of their shares, are based on a world which continues to warm. Efforts to tackle climate change, such as banning fracking and phasing out fossil fuel-powered cars, make the future for fossil fuel companies more risky. The Governor of the Bank of England has warned that the "vast majority of [fossil fuel] reserves are unburnable" if climate change is to be limited to safe levels as pledged by the world's governments. By investing in the companies most responsible for climate change funds risk significant losses, fail to protect members' best interests, and miss an opportunity to take leadership on sustainability. By committing to divest, the Lothian Pension fund would join responsible investors including the Cities of New York and Paris. Over twenty Scottish MPs, including Ian Blackford, Christine Jardine and Ian Murray, have also supported disinvestment of their own pension fund.
    38 of 100 Signatures
    Created by Susan Hamilton
  • Malmö University: Divest from fossil fuels
    För svensk översättning, se nedan _____________________ Although Malmö University prides itself on being committed to sustainability, they invest in non-sustainable energy companies using non-renewable resources. Burning fossil fuels such as coal, gas and oil create greenhouse gases which produce carbon dioxide and nitrous oxide which are polluting our air. Other consequences of greenhouse gases are rising temperatures, climate change, melting glaciers and increased water levels. The time has come for Malmö University to put their money where their mouth is by breaking any ties with fossil fuels. _____________________ Trots att Malmö universitet utmärker sig själva som hållbara investerar de i ohållbara energiföretag som använder icke förnybara energikällor. Att bränna fossila bränslen som kol, naturgas och olja skapar växthusgaser som producerar koldioxid och kväveoxid som förorenar vår luft. Andra konsekvenser av växthusgaser är stigande temperaturer, klimatförändringar, smältande glaciärer och stigande vattenhöjd. Tiden är inne för Malmö universitet att sätta sina pengar där deras vision ligger genom att bryta alla band till fossila bränslen. For more information e-mail: [email protected]
    49 of 100 Signatures
    Created by Fenix Miljöförening
  • Kein Geld für Kohle, Öl und Gas - Erzbistum Freiburg soll Fossil Free werden
    Kohle-, Öl- und Gasunternehmen treiben die Klimakrise weiter voran und behindern seit Jahrzehnten Klimaschutzmaßnahmen. Es ist Zeit, dass unsere Institutionen Stellung beziehen und ihre Gelder aus fossilen Brennstoffen abziehen. Wir dürfen kaum noch fossile Brennstoffe verbrennen, damit sich die Erde, wie von den Regierungen im Pariser Klimaschutzabkommen vereinbart, nicht um mehr als 1,5 °C erwärmt. Wenn die derzeit bestehenden Kohle-, Öl- und Gasprojekte nicht frühzeitig beendet werden, werden die Temperaturen weltweit aufgrund der Emissionen um über 2 °C ansteigen. Das bedeutet, dass es keine neuen fossilen Brennstoffprojekte mehr geben darf und wir laufende Projekte stoppen müssen. Hunderte Glaubensgemeinschaften, Konfessionen und religiöse Einrichtungen weltweit engagieren sich im Bereich Klimaschutz und viele gehen Divestment-Verpflichtungen ein. Auch in Deutschland wird es Zeit, dass die Kirchen ihr Geld aus Firmen abziehen, die ihren Umsatz mit der Förderung fossiler Energieträger machen. Dass Kohle, Öl und Gas ersetzt werden müssen, sagt auch Papst Franziskus: „Wir wissen, dass die Technologie, die auf den sehr umweltschädlichen fossilen Brennstoffen – vor allem von Kohle, aber auch von Erdöl und…Gas – basiert, fortschreitend und unverzüglich ersetzt werden muss” (Papst Franziskus, Laudato Si, 165) Institutionen, die weiterhin in fossile Brennstoffe investieren, setzen öffentliche Gelder einem enormen finanziellen Risiko aus und unterstützen eine Branche, die aktiv Klimaschutzmaßnahmen behindert. Sie sollten stattdessen lieber den Ausstieg aus fossilen Brennstoffen unterstützen und in Technologien investieren, die eine emissionsfreie Energieversorgung ermöglichen.
    789 of 800 Signatures
    Created by Tamara Nausner